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Cependant nous avons bien hâte de savoir si cette petite particularité de la première édition de Gautier nous portera à penser que le succès de ce roman fut aussi considérable que l’on le dit. — Nous le croyons assurément, car il en est résulté une édition de grand prix. M. Charles Milton, dans son ''Histoire des romanciers anglais'', a signalé avec une juste estime ce roman comme la preuve la plus éloquente de la supériorité du talent de Gautier.
Il a fallu bien peu de temps à ce grand artiste pour acquérir la renommée dont il jouit à présent. Milton, en effet, nous l’avons vu, s’est borné à faire la critique de son premier roman ; il n’a pas tenté la description de l’œuvre, et ce manque de détails ne permet pas de faire un commentaire de ses ouvrages ; ce qui est assez rare pour être signalé.
Le premier roman de M. Gautier est intitulé : ''L’Homme qui assassina sa femme''. Cette expression de ''l’Homme qui assassina sa femme'', qui n’est autre que la femme de son amant, est la première expression que l’on trouve dans les romans de M. Gautier, et l’on y reconnaît bien une certaine ressemblance avec celle de Balzac dans ''Le Père Goriot''. Ce n’est donc pas une coïncidence que cette expression ait été trouvée dans un roman de M. Gautier.
Quant à l’expression de ''l’Homme qui assassina sa femme'', elle est tirée d’une nouvelle publiée par M. Gautier, et intitulée : ''Voyage de M. de Tocqueville'', dans laquelle M. de Tocqueville raconte son voyage. On sait ce que c’est qu’un voyage de M. de Tocqueville, et on sait aussi ce que c’est qu’un auteur qui a fait une bonne nouvelle pour l’édification des lecteurs. — Dans la nouvelle de M. Gautier, cette expression de ''l’Homme qui assassina sa femme'', et cette nouvelle, se trouvent réunies en un même ouvrage. On peut donc dire que M. Gautier a fait à ce roman une concession qui lui permet de nous le faire connaître, sans nous en dire trop de mal. — Cette concession a aussi ses inconvénients ; car M. Gautier a fait à sa nouvelle cette concession par la complaisance de son sujet, qui se montre ainsi sous un aspect un peu moins flatteur que par la plume de l’auteur. Le sujet de cette nouvelle est un fait extraordinaire, et il est difficile d’en trouver le début, mais le dénouement est le même que celui de la nouvelle de M.
Nous avons déjà dit que cette nouvelle de M. Gautier était tirée d’une histoire véridique ; cette vérité même est un obstacle à la célébrité de M. Gautier ; car, si cette histoire est vraie, elle n’est pas aussi intéressante que les romans de M. — D’un autre côté, cette histoire est aussi intéressante que celle de M. Gautier ; car M. Gautier, dans sa nouvelle, ne fait que la commenter par un jeu de mots et d’analogies qu’il est facile de deviner.
Gautier a fait un roman ; mais, s’il a fait un roman, il ne l’a pas intitulé ainsi, car il ne pouvait pas se le permettre ; il l’a intitulé : ''L’Homme qui assassina sa femme''.
L’expression de ''l’Homme qui assassina sa femme'' ne peut être employée comme titre que par le romancier ; car il est fort possible qu’il se soit trompé en l’employant dans sa nouvelle.
On sait que l’auteur de la nouvelle de M. Gautier, M. Goriot, n’a pas voulu se contenter de donner la suite du premier roman de M.
Il y a un autre défaut du premier roman de M. Gautier : c’est la faute d’une omission qui a été commise par M. Goriot. Goriot n’a pas dit un mot de ce qu’il y a d’admirable dans le roman de M. Gautier, puisqu’il n’a pas fait son roman à la suite de la nouvelle de M.
Mais, si ce défaut de la première édition de M. Gautier n’est pas à lui seul la cause de son succès, il est cependant une cause bien importante ; car nous ignorons si le succès a été tel que M. Gautier l’espérait ; et si le succès a été tel qu’il l’espérait, c’est que la faute de M. Goriot a été la cause de ce succès.
Il est très probable que M. Gautier n’a pas fait son roman à la suite de la nouvelle de M. Gautier ; nous ne le savons.
En outre, si M. Gautier a fait son roman à la suite de la nouvelle de M. Gautier, il est fort probable que M. Goriot n’a pas voulu se contenter du roman de M. Gautier ; il a voulu faire sa nouvelle à la suite du roman de M.
Nous avons vu que M. Goriot a fait sa nouvelle à la suite du roman de M. Gautier ; nous voyons que M. Gautier a fait sa nouvelle à la suite du roman de M. Si M.
Nous ignorons si M. Gautier, mais nous connaissons bien M. On sait qu’il a fait un roman sur la vie de Goriot, et un roman sur la vie de Mimi-Pinson. Nous connaissons aussi bien Mimi-Pinson.
Ainsi, nous connaissons la vie de M. Goriot ; nous connaissons aussi la vie de Mimi-Pinson. Goriot a fait une nouvelle sur la vie de M. Goriot, Mimi-Pinson a fait une nouvelle sur la vie de Mimi-Pinson.
Nous n’avons pas à nous interroger plus longtemps sur la cause de cet étrange succès de M. Gautier ; il n’y en a qu’une : c’est la faute de M. Goriot a fait sa nouvelle à la suite de la nouvelle de M. Gautier, mais nous savons que Mimi-Pinson a fait sa nouvelle à la suite de celle de M.
Gautier, il doit en résulter que Mimi-Pinson a fait sa nouvelle à la suite de celle de M.
Sans doute, le roman de M. Gautier a été apprécié ; nous ignorons si la critique a été dithyrambique ; mais elle est dithyrambique, et cette critique nous apprend que les livres de M. Gautier n’ont pas la réputation qu’on leur prête. Nous savons qu’il est rare que les romans de M. Gautier soient accueillis par le public, et nous savons qu’il y a peu de personnes qui ne s’accordent à dire que les romans de M. Gautier sont peu originaux, et peu intéressants.
Ce qui est remarquable dans les romans de M. Gautier, c’est que l’originalité et l’intéressant n’y sont pas assez considérés. Les critiques sont plus intéressées à ce qui est nouveau et original dans la nouvelle de M. Gautier, qu’ils ne le sont dans le roman de M.
De ce point de vue, il n’est pas probable que les romans de M. Gautier soient, en général, plus originaux et plus intéressants que les nouvelles de M.
Quand on sait ce qui se passe dans les romans, on ne saurait être étonné de ce que M. Gautier ne soit pas un romantique ; car un romancier n’est pas un romantique ; et un romantique n’est pas un roman de M.
Tous ceux qui sont venus après M. Gautier ont voulu faire du roman ; ils sont allés à la recherche d’un sujet nouveau. Le roman est un art où l’on cherche un sujet nouveau ; et on sait que les romanciers sont les plus nombreux des artistes qui ont été mis en possession de cet art : les plus grands sont les romanciers. Nous croyons donc avoir fait justice de l’opinion de ceux qui croient que les romans de M. Gautier sont l’œuvre d’un romancier dilettante ; nous croyons avoir établi que ces romans sont l’œuvre d’un artiste habile.
Nous n’avons plus qu’à nous féliciter de la faveur qu’ont reçue les romans de M.
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